24 déc. 2011

Commune de Bobo-Dioulasso

L’Inspection D’Etat  sur les trousses
de la commune de Bobo-Dioulasso ?
selon une source généralement bien informée, une mission de L’Inspection D’Etat serait aperçue dans les couloirs de la commune de Bobo-Dioulasso ce lundi 28 novembre 2011.
A en croire cette source, cette mission de L’Inspection D’Etat dans la cité de Sya et plus particulièrement dans les couloirs de la commune de Bobo-Dioulasso aurait pour objet de faire la lumière sur des spéculations de parcelles et autres enrichissement illicites de certaines grosses pointures de l’administration communale de Bobo-Dioulasso. Vrai ou faux, nous ne  saurons en dire davantage. Si tel était le cas, il faudrait tout de même reconnaitre qu’il était temps qu’on puisse ramener ces apprentis politiciens à l’ordre.
Et comme tout se sait tôt ou tard en savane herbeuse, les jours et les semaines à venir nous aiderons à comprendre davantage. Nous y reviendrons.

Armée Burkinabé

Deuxième région  de Gendarmerie
Les efforts du Colonel Serge Ouédraogo récompensés
Le 29 Novembre 2011 dernier, le stade Georges Namoano de la deuxième région militaire à Bobo-Dsso a abrité la cérémonie de décoration de 133 militaires et du Colonel Serge Ouédraogo, Commandant la deuxième région de Gendarmerie de Bobo-Dsso.
Il n’est un secret pour personne pour se rendre à l’évidence que des militaires et autres corps de défense et de sécurité burkinabé sont déployés chaque année dans des opérations de maintient de la paix dans le cadre de la CEDEAO et de l’Union africaine. C’est à ce titre que ces 134  militaires et autres forces de défense et de sécurité ont été décorés.
Le Commandant de la place d’Armés de Bobo-Dsso, le Colonel Raboyinga Kaboré a invité à cette occasion les récipiendaires à plus d’ardeur au travail pour le rayonnement de l’armée burkinabé. Et comme il fallait s’y attendre, les derniers bruits de bottes des mutins se sont invités aux débats. Et à cet effet, il a demandé à ces hommes d’avoir toujours à l’esprit le respect des valeurs intrinsèques de l’armée burkinabé.
Le colonel Serge Ouédraogo, Commandant la deuxième région de Gendarmerie, à quant à lui reçu sa médaille de l’attaché de défense française près de l’ambassade de France au Burkina, le Lieutenant- Colonel Jean-Jacques Luciani au nom du ministre de la défense française.

Encadré

A la fin de la cérémonie nous avons tendu notre micro au Lieutenant-colonel Jean-Jacques Luciani et  au Colonel Serge Alain Ouédraogo.
Lisez-plutôt leurs commentaires :
Lt-Colonel Jean-Jacques Luciani, attaché de défense près de l’ambassade de France au Burkina et Chef de la mission de Coopération de défense.
Tout d’abord je tiens à remercier les autorités militaires burkinabé de m’avoir invité à cette cérémonie de remise de décoration commémorative à des engagements au titre des opérations de maintien de la paix qui, je le rappelle souligne l’effort tout particulier du Burkina Faso dans le cadre de son engagement aux opérations de maintien de la paix que ce soit sous l’égide de la CEDEAO, de l’Union africaine ou des Nations Unies.
La coopération française participe à la formation de certains contingents qui sont déployés au titre des opérations de maintien de la paix. C’est le cas en ce moment d’une formation au profit d’un escadron de gendarmerie mobile qui devrait être déployé dans les semaines à venir au Darfour.
La coopération militaire avec le Burkina Faso est ancienne et a toujours été très dense. Nous avons en partenariat avec les forces nationales qui nous permet de conduire avec les différentes autorités burkinabés à un certain nombre d’actions au profit des différentes composantes. Ces actions sont dans le domaine de la formation plus particulièrement mais aussi à un appui à la réorganisation des différentes structures comme l’armée de l’air, l’armée de terre, mais aussi de la Gendarmerie. Ce matin, le fait d’avoir remis une décoration au Colonel Serge Alain Ouédraogo est un signe tout particulier de cette relation qui existe entre la France et le Burkina Faso au titre des différentes actions de coopération que nous menons. C’est un lien très fort au niveau des Etats, mais sur le terrain c’est aussi un lien très fort entre les hommes et ce lien particulier qui existe entre les hommes pour développer les différents projets de coopération qui font qu’aujourd’hui j’ai pu remettre cette décoration au titre du Ministre français de la défense au Colonel Serge Alain Ouédraogo.
Le Colonel Serge  Alain Ouédraogo
« Pour cette décoration, je tiens à remercier les autorités française et tous ceux qui ont contribué à ce que cette décoration soit consacrée à ma modeste personne. D’abord je dédie cette médaille à mes parents, ma mère et à mon  prédécesseur pour m’avoir appris le sens de la responsabilité, le travail bien fait et surtout le respect des valeurs de la morale. Je pense que c’est tous ces mérites qui ont été reconnus au niveau des autorités françaises et qui ont jugé bon de m’offrir cette médaille pour traduire leur gratitude et leur reconnaissance. Et aussi témoigner le lien de coopération qui existe entre la France et le Burkina et par-dessus tous les liens de solidarité et de confraternité qui existent entre les armées française et burkinabé et en particulier entre les deux Gendarmeries.

Faits divers


Une femme enterrée vivante avec son mari décédé.
Retenez un peu votre souffle, lecteur et lectrice.
Plein feu sur cette histoire qui continue de faire des vagues dans cette partie du pays.
Eugénie est mariée et mère de deux enfants. Son époux, la trentaine révolue, est à cheval entre l’Europe  et son village natal. A chaque vacance, André l’époux d’Eugénie rentre au pays afin de passer quelques mois de bombances avec son épouse Eugénie restée au village. Pour que Eugénie reste aux cotés des parents d’André au village, il faudrait que certaines conditions soient remplies afin de permettre à celle-ci de s’épanouir même en absence de son mari. Il faut tout de même reconnaître qu’Eugénie ne manquait de rien, portable, crypton, et suffisamment d’argent pour son petit commerce et autres frais de popotes. La vie était belle pour Eugénie, en cas de manque d’argent, il suffisait qu’elle fasse un petit coup de fil à André de l’autre coté de l’hexagone et les minutes qui suivent et par le biais de Western Union, les sous tombaient.
Après avoir fait deux enfants en six ans de mariage avec Eugénie, André a décidé de marier une seconde épouse. Il  prendra le soin d’informer sa première femme de son intention de prendre une seconde femme, et comme vous allez vous en rendre compte, celle-ci n’a pas trouvé d’inconvénient. Cette requête date de Juin 2010. A la fin des vacances, André rejoignit son eldorado c'est-à-dire l’Europe. A ce stade tout se passe sans commentaire. Pour faire plaisir une fois de plus à sa dulcinée en rentrant en  ces dernières vacances en Juillet 2011 dernier, André s’offra une 307 flambant neuf. Pour la seconde fois, il informa Eugénie de son intention de marier une seconde femme. Cette fois ci Eugénie donna une condition. Il fera comprendre à André que s’il souhaite prendre une seconde épouse, il faudrait qu’en repartant en Europe, qu’il lui laisse la 307 Peugeot qu’il venait d’acquérir. En toute franchise, André n’a pas trouvé d’inconvénient.
Un Samedi soir, André informa son épouse Eugénie de vouloir faire une sortie avec sa fiancée qu’il venait de rencontrer au cours d’une de ces randonnées. Il a demandé poliment à Eugénie de lui déposer de l’eau dans la douche afin qu’il puisse se débarbouiller pour aller à la rencontre de sa fiancée. Sans se poser trop de questions, elle se leva bonnement et s’exécuta aussitôt et vint informer son mari qu’elle a déposé l’eau dans la douche. Après avoir informé son mari, qu’elle a déposé l’eau dans la douche, elle prendra le soin de se munir d’un pilon et alla nonchalamment se cacher dans un couloir de la douche en attendant bonnement l’arrivée de son mari. Sans se poser aussi trop de questions, André se déshabilla et serviette à la taille et se dirigea vers la douche et ce qui devait arriver, arriva. Au moment où André voulait s’introduire dans la douche, elle assomma sa victime de mari à l’aide de son pilon sur la nuque et celui-ci tomba raide dans le sceau d’eau. Après avoir accompli son forfait, elle a essayé d’escalader le mur, mais malheureusement pour elle, le frère benjamin de André qui était à coté la stoppa net. En l’espace de quelques minutes, André rendra l’âme. La mauvaise nouvelle fut annoncée à la famille d’Eugénie et son père « himself» se présenta à la famille mortuaire. Arrivé, il constata de visu les dégâts. Après avoir fixé sa fille pendant quelques minutes, il dira ceci : « A partir d’aujourd’hui, je ne te reconnais plus comme ma fille, et je te laisse comme bon  semble à la famille de ton mari de décider de ton sort » et se retira les larmes aux yeux en direction de sa famille. En un temps record, un conseil de famille s’est tenu et le sort d’Eugénie a été scellé. De commun accord, l’on décida d’enterrer Eugénie vivante avec sa victime. Après avoir fini de creuser la tombe, vint le moment de l’absoute. La pauvre Eugénie accompagna le corps à la tombe, arrivé, arme aux poings, on intima Eugénie de descendre dans la tombe et de serrer le cadavre contre elle, elle s’exécuta aussitôt et sans pitié, on referma la tombe à l’aide d’une grande dalle et l’on procéda aussitôt au remplissage de la terre. Eugénie venait juste d’être enterrée vivante avec sa victime d’époux. Quelle fin tragique pour Eugénie et à qui la faute ?

A qui profite la non réhabilitation de l'hôtel des finances Houet III

Société
A  qui profite la non réhabilitation de l’hôtel des finances Houet III ?
En rappel, le 20 Février 2008 dans la matinée, la ville de Sya s’était réveillée sous le crépitement des gaz lacrymogènes avec en sus des rues barricadées, des pneus usagés en flammes dans presque toutes les artères de la ville, des boutiques et autres biens publics et privés saccagés et pillés suite à une manifestation contre la vie chère.
En son temps, la marie de Dô et l’Hôtel des finances Houet III logés tous au secteur 11 ex colma à Bobo-Dsso ont reçu la visite des manifestants contre la vie chère. Des ordinateurs, des archives et autres biens précieux étaient partis en fumée en l’espace de quelques heures. Depuis cette journée noire du Mercredi 20 Février, les usagers  et les travailleurs de la Mairie se sont trouvés obligés de faire la navette entre la DRACO située à quelques encablures de l’école centre et le siège de l’arrondissement.
Le Maire Moustapha TINTO et son conseil municipal ont aussitôt lancé un appel d’offre et après dépouillement, une entreprise de la place a été attributaire  du marché  et qui tournait autour de 53 millions de nos francs.
Sauf erreur de notre part, depuis courant 2011, le Maire et son conseil municipal ont regagné la Mairie entièrement rénovée, par contre, du coté de l’hôtel des finances Houet III c’est le (statuquo). Pire, le bâtiment qui servait de bureaux aux travailleurs et aux usagers de l’hôtel des finances de Houet III est transformé aujourd’hui en un asile, un dépotoir et un lieu de prédilection pour les malfrats et autres grands bandits de la ville, mettant ainsi du coup en insécurité totale tout le voisinage.
A en croire une certaine source, l’hôtel des finances Houet III qui depuis le 20 Février 2008 a élu domicile au secteur 21 dans l’arrondissement de Konsa, n’a pas jusque-là rejoint son siège initial au secteur 11 ex Colma.
De passage un matin à ce dit siège de l’hôtel des finances Houet III, ce lundi 21 Novembre 2011 notre reporter n’en croyait pas ses yeux, c’est un bâtiment entièrement délabré et englouti par des arbres et des touffes d’herbe avec en sus des tas d’immondices.
Selon une source généralement bien informée, la location mensuelle de l’immeuble qui sert de bureaux à l’hôtel des finances  Houet III, tournerait autour de 900 000 à plus de 1 000 000 de nos Francs. Cela fait donc trois ans et neuf mois, jour pour jour, que les usagers de l’hôtel des finances sont astreints à cette corvée, car obligés de faire des kilomètres en dehors de leur arrondissement pour honorer leurs impôts et taxes.
Restons dans la fourchette de 900 000F CFA de frais de location mensuelle, au moment où nous tracions ces lignes, les frais de location versés tourneraient autour de 40 500 000F CFA. Cela est tout de même scandaleux. La question que l’on est tenté de se poser est de savoir pourquoi ce retard substantiel dans la réhabilitation de cette infrastructure qui n’a que trop duré ou encore en d’autres termes, qui bénéficierait de la non réhabilitation de l’hôtel des finances Houet III.
Il est temps et grand temps que l’autorité communale prenne ses responsabilités pour comprendre dans les détails les raisons  profondes  de cette non réhabilitation de l’hôtel des finances Houet III, avant qu’il ne soit trop tard.
Sachons tout de même raison gardée, car il est inconcevable qu’on puisse jeter par la fenêtre l’argent du contribuable burkinabé.

Laurent Bagbo

Laurent Koudou Gbagbo

Laurent Koudou Gbagbo est né le 31/05/1945 à Mama, en Côte d'Ivoire. Il a été opposant pendant de longues années au Président Houphouët Boigny. Il est élu à la présidence de la république de Côte d'Ivoire en 2000.
Son mandat a été marqué par une crise qui a divisé le pays en deux.  Lors de l'élection de 2010 qui l'oppose à Alassane Ouattara, il sera considéré comme vainqueur par le conseil constitutionnel mais non par la commission électorale indépendante et surtout par la communauté internationale. Il refuse alors de quitter le pouvoir et est arrêté le 11 avril 2011 et incarcéré à la HAYE le 30/11/2011.
L'arrestation de Gbagbo pose un problème à la conscience africaine mais aussi à la conscience française universelle. Malgré les contre vérités qui ont été lourdement disséminées par voies de média pour en cacher les causes profondes, on sait que sans les bombardements français, sans l'aide de l'Onuci, les Fanci auraient taillé en pièce la rébellion. On sait aussi image et témoignages à l'appui que ce sont les forces françaises qui ont été à la manette pour arrêter le président Gbagbo dans sa résidence de Cocodi. Pour cela des comptes un jour seront demandés par les peuples d'Afrique à ceux de France et de l'OTAN.
On sait aussi que revenu de leurs manipulations par les grandes puissances titulaires du conseil de sécurité, beaucoup de chefs d’États africains parmi ceux qui bon gré ou mal gré avaient combattu Gbagbo ne souhaitaient pas son transfert à la Haye pour y être jugé.
Si Gbagbo se trouve aujourd'hui aux côtés des Taylor et autres, c'est moins parce que les ivoiriens eux-mêmes l'ont voulu mais parce que telle est la volonté de ceux qui ont mis fin à son pouvoir en livrant une guerre injuste à son pays.
Le procès qui s'ouvre pose ainsi un cas de conscience aux juristes, aux hommes de bonne volonté de bonne foi et interpelle ceux qui ont foi en la justice sur les dérives qui risquent d'emporter ce grand rêve d'une justice internationale que la CPI a incarné à sa naissance.
Si les droits de la défense sont respectés c'est assurément un grand moment que nous vivrons et qui risque d'influencer la vie politique intérieure de nombreux pays dont la France elle -même.
En raison de la personnalité de l'homme de sa résistance héroïque et pugnace contre la néo colonisation de son pays, nous avons choisi Laurent Gbagbo comme homme du moment.

22 déc. 2011

Où sont passés les espaces verts de Bobo-Dioulasso ?


IL n’est un secret pour personne  se rendre à l’évidence que tous les espaces verts de la ville de  Bobo-Dioulasso sont  en passe de devenir des  boutiques de rue,  des stations d’essence, des garages, des bars dancing ou autres  kiosques de tout acabit et nous en oublions. A ce rythme,  nous restons convaincus qu’en moins de 05 ans, Bobo-Dioulasso risquerait de tourner définitivement les  pages   de l’histoire  des affaires  d’espaces verts, si on n’y prend garde. Nous osons croire, que les premiers responsables de la municipalité de Bobo-Dioulasso auront un œil attentif à cette situation pour permettre aux générations présentes et futures de s’épanouir dans de bonnes conditions au risque de répondre devant l’histoire. 

Quand le maire Salia Sanou se fait prendre à son propre piège !!


Nous avons toujours en mémoire cet élan peu catholique qui avait caractérisé le premier discours des nouveaux locataires de la commune de Bobo-Dsso. En son temps, nous avons tenté d’attirer l’attention des nouvelles autorités communales par rapport à ce langage qui pourrait un temps soit peu saper l’élan de dynamisme de cette équipe communale. Et comme vous vous en doutez, notre cri de cœur est passé inaperçu. Quel dommage serait-on tenté de dire. Nonobstant la bonne volonté du maire Salia Sanou, il est évident qu’il ne puisse répondre aux nombreuses attentes des populations laborieuses de cette cité cosmopolite. Pour ce faire, il s’est fait malheureusement assisté par des personnes qui semblent être de mauvaise foi dans l’exercice des missions qui lui sont confiées.
Nous n’avions pas la prétention de refaire l’histoire, seulement pour mieux étayer la lanterne du citoyen lambda, nous serons obligés d’en arriver là.
Nous avons toujours en mémoire cette guerre fratricide entre Alfred SANOU et l’actuel locataire de la commune de Bobo-Dioulasso consécutive à l’élection de  Célestin Koussoubé à  tête  de la commune de Bobo-Dioulasso. Beaucoup d’eau avait  coulé sous les ponts de la discorde avec en sus des pertes en vie humaines et nous en oublions. Selon une source généralement bien informée, nous apprenions que ces deux frères ennemis d’hier se seraient réconciliés, mais assorti de la signature d’un pacte. Vrai ou faux, nous ne saurions en dire davantage. Pour notre part, si c’est le prix à payer pour faire la paix des braves, il faudrait qu’on soit sincère pour reconnaître que cela est la bienvenue. Et une autre source d’ajouter que pour tourner définitivement cette page sombre de l’histoire de cette cité, il fallait que Salia SANOU accepte composer ou encore se faire accompagner par les hommes de confiance de Alfred SANOU. Sauf erreur de notre part, c’est ce qui fut fait en son temps. Le résultat est là, très palpable à l’œil nu. Seulement il faut être réaliste pour se rendre à l’évidence que ces personnes ont créé plus de problèmes au maire que d’en régler. Selon une source proche de la commune, ces personnes  coptées par pure coïncidence avaient entre temps  des problèmes à parler le même langage et qui aurait milité semble-t-il une rencontre de cabinet dirigé par le maire lui même afin que ceux-ci regardent dans la même direction pour le développement de la commune, mais peine perdue serait-on tenté de dire.
A en croire une certaine source, le maire aurait décidé  de se séparer de certains de ses plus proches collaborateurs,  mais trop tard. Le vin étant tiré, il faut nécessairement le boire  qu’elle qu’en soit le goût.
Ces personnes qui rodent autour du maire se sont réellement servis mettant du coup le maire Salia Sanou dans une position inconfortable.  En toute chose, sachons raison gardée tout en ayant à l’esprit que l’on ne peut être plus royaliste que le roi.
Nous n’aurions pas souhaité être aujourd’hui à la place du maire, car il a du pain sur la planche. L’on susurre dans certains milieux que c’est l’une des équipes communales  la plus bancale que Bobo-Dioulasso n’ait jamais connu. Et pour finir, on a comme l’impression que le maire Salia SANOU s’est fait prendre à son propre piège. Mais à qui la faute ?